Les vêtements sont considérés comme une partie du patrimoine culturel dans tous les peuples du monde. Ils sont directement lié à l'histoire, la civilisation et la tradition d'une chaque country. Comme tous les pays du monde, l'Algérie est riche avec des divers vêtements qui diffèlease d'une région à l'autre. Par exemple, dans la capitale Algérienne (Alger), les femmes portaient, à l’époque,  ce que l'on appelle le Karako qui est composé de deux pièces; une veste en velours et un très large pantalon.

Femme portant une abaya et une frimla. Si l'essentiel des vêtements et des accessoires se transforment sous l'affect des modèles andalous, descendants des costumes syriens, il n'en demeure pas moins read more que le costume fileéminin de Tlemcen garde des traces de son goé berbère : le pagne, appelé fouta, et le péplum à fibules, appelé melhafa[32].

Nos vestes karakou sont le symbole d’une fusion parfaite entre modernité et traditions algériennes.

“Costumes d’Algérie” et “Algéroises, histoire d’un costume méditerranéen” fournissent ainsi une richesse de données précises sur le costume méditerranéen, algérois en particulier, même si l’auteur se réfileéré grandement aux archives occidentales, la plus ancienne source d’informations, souligne-t-elle, étant un texte espagnol datant de la fin du XVI siècle, tout en déplorant le manque d'”objectivité de l’idéologie coloniale” ainsi que le message “réducteur” véhiculé.

Issu de multiples brassages historiques, ce patrimoine séculaire est le reflet de l’identité et d’un savoir-faire algériens ayant résisté, pour la plupart, au temps et aux diverses menaces d’effacement.

À partir du milieu du XXe siècle, les robes kabyles et les bijoux en argent se propagent dans la ville. Elles côtoient des robes de variety citadin ornées de broderies dorées, ultimes héritières du costume d'antan[76].

Entre le XIVe et XVIe siècles, Alger qui est une ville en pleine croissance, accueille de nombreux exilés andalous. L'élite algéroise introduit dans sa garde-robe des soutanes munies de petits boutons[eleven]. Alger accède au titre de capitale, le costume de ses habitantes devient la référence suprême pour les autres Algériennes[twelve].

Il porte aujourd’hui un projet baptisé The North African Streetwear (la manner de rue d’Afrique du Nord). S’inspirant de certains habits traditionnels, il a créé une collection de vêtements avec des tendances algériennes et nord-africaines.

Elles se distinguent par des motifs inspirés du riche patrimoine culturel algérien, intégrés dans des types modernes et épurés. Les tissus garantissent à la fois confort et durabilité.

L'substitute choisie par les Oranaises est celle de la blouza, introduite par les familles tlemcéniennes. Ce rapprochement conduit les blouzas des deux villes à évoluer simultanément[46].

En Algérie, les habits traditionnels, et particulièrement ceux qui sont portés lors des grandes events, ont toujours le vent en poupe.

Si nous pouvons vous conseiller, il est préfileérable de choisir un Karakou avec des broderies situées au niveau de l'ouverture de la veste ou même des manches. Le traditionnel karakou est brodé avec des fils d'or même si, ce form de broderie, reste moreover difficile à confectionner.

, une tenue nuptiale emblème de la ville de Tlemcen. Le mariage représente l’occasion par excellence où cette pièce vestimentaire prend tout son sens, symbolisant à la fois l’élégance et le regard des traditions.

Le costume traditionnel de Jijel. L'originalité du costume traditionnel sétifien réfacet dans la fusion d'éléments empruntés au model constantinoise avec certaines réminiscences de la parure aurésienne. Une caractéristique commune à plusieurs costumes de l'Est, en particulier dans les agglomérations, situées entre le sud de Constantine et le nord du massif de l'Aurès, telles que Souk Ahras, ou Batna[seventy four].